Cameroun. Le difficile quotidien des familles d’infirmes moteurs cérébraux
Ils ont profité de la journée mondiale de la paralysie cérébrale célébrée hier 6 octobre 2020 pour demander aux pouvoir publics une meilleure prise en compte de leur situation. « S’occuper d’un enfant infirme moteur cérébral demande beaucoup de temps, d’attention, de patience et d’amour ». Telle est la précision qu’à faite d’entrée de jeu Flore Kamdem Ngassa hier à Yaoundé. Elle était en réalité révélatrice du...