Grogne dans les hôpitaux. Quand les malades payent le plus lourd tribut
Depuis le début de ce mouvement d’humeur, le calvaire des patients est perceptible tandis que le malaise lui, persiste. Hôpital Gynéco obstétrique et Pédiatrique de Ngousso le 5 février. Il est 19 heures. Marie est à bout de patience. Après 7 heures d’attentes, la jeune dame souffrante n’a toujours reçu aucun traitement. « Un généraliste m’a reçu. Mais depuis 14h j‘attends de faire une échographie...